02082007032.jpg "Le labeur de mes mains nourrit les lâches et les oiseux qui me persécutent de faim et de glaive. Je soutiens leur vie à la sueur et travail de mon corps, et ils guerroient la mienne par leur outrage ; ils vivent de moi et je meurs par eux. (...) Je meurs et transis par défaut et nécessité des biens que j'ai gagnés. Labeur a perdu son ESPERANCE. (Alain CHARTIER. 1385-1433. "Quadrilogue invectif ; Lamentations du peuple).