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Oeuvre de Florian Fouchard.

La pandémie grippale (on passerait bientôt en phase 6) qui imposerait la vaccination de toute la population même s'il y a des démentis du gouvernement, les catastrophes aériennes (et la dernière est terrible), le chômage qui ne cesse de croître (et cela ne va pas s'arranger tout de suite d'après les déclarations de l'Etat), la paupérisation d'une partie de la population française (comment vivre avec moins de 900 euros par mois), la jeunesse qui craque et qui ne rêve plus (les grèves dans les universités l'ont montré), les producteurs de lait qui vendent à perte (malgré ce qu'ils ont obtenu aujourd'hui), la pollution des villes qui s'accroît (mais on continue à utiliser le gasoil pour les transports en commun), les déchets ménagers dont on ne sait plus que faire (et les décharges sauvages s'accumulent), les menaces non dissimulées de pays totalitaires dont les populations sont terrorisées (l'Iran, la Chine, la Corée du nord...), l'Afrique qui crève de soif et de SIDA, les sectes qui prospèrent dans ce monde de désespérance (et le terrain est fertile), le retour du créationnisme ... Que nous reste-t-il ? Le suicide collectif ou la révolte contre un monde qui oublie que c'est d'abord l'homme qui crée ses propres difficultés. Le pauvre RUTEBOEUF nous disait que "l'espérance de nos lendemains ce sont nos fêtes" ! Mais de quelles fêtes peut-il s'agir aujourd'hui dans ce chaos mondial. Alors, j'ai choisi pour devise ce que Gracchus BABEUF (1760-1797) disait dans "La tribune du peuple") : "PEUPLE, REVEILLE-TOI A L'ESPERANCE !".