Les assassins de la mémoire sont encore là. Auschwitz a été profané. L'inscription au dessus du portail a été volée. Il n'y a plus rien à dire : l'horreur est toujours présente et au service de criminels qui veulent tuer l'histoire et la mémoire. G. SEMPRUN rappelait que lorsque les derniers survivants auront disparu, qui se souviendra de l'odeur de la chair brûlée ? Personne, car il fallait y être pour la sentir. Alors, quelques fous criminels pensent sans doute qu'en faisant disparaître les traces de la Shoah, les peuples oublieront que cela a été. Nous devons protester contre ces actes barbares, contre ces actes contre l'humanité et contre la mémoire. Lire l'article du Parisien