Le ministre se félicite (c'est déjà, pour lui, une raison de satisfaction, ça évite aux autres de le faire !) que son débat (ou celui du Président de la République) se déroule bien et qu'il n'est pas accaparé par des questions relatives à l'Islam et/ou à l'immigration. Je suis content que le ministre soit content ! Ce qui m'inquiète, c'est que lui-même soit satisfait qu'un tiers des intervenants se soient axés justement sur ces thèmes. C'est beaucoup, beaucoup trop ! Et c'est sans doute sous estimé car ce n'est pas ce qu'on lit sur le net. La dénonciation de l'autre a toujours porté ses fruits pourris et le réveil, après la crise, a toujours été difficile. Lire l'article du Figaro