Après le Fouquet's, les yatchs privés, les stylos de luxe et autres rolex, après la Lanterne et les chasses présidentielles remisent au goût du jour et qui ne coûtent parait-il "rien", voici maintenant la censure au nom du Monarque. Est-ce que l'exposition de Monsieur Père fera-t-elle l'objet aussi d'une interdiction ou d'une promotion ? Tout le monde connait la réponse ! Mais là, pour raison budgétaire (!) a-t-on le droit d'interdire une artiste en décrochant son oeuvre sans préavis alors que cette oeuvre ne pourrait choquer que les hôtes de l'Elysée ? Le directeur a-t-il agi à l'insu de son plein gré ou sur instruction ? le Monarque, jadis, agissait ainsi... et les lettres de cachet suivaient assez vite...Va-t-on voir une artiste chinoise renvoyée dans son pays ? Quand on commence à censurer la culture, la fin des libertés n'est pas loin. Lire l'article de Libération