Tout le monde connait le fameux syllogisme "Ce qui est rare est cher...". Dans la même veine, "Ce qui est rare est cher ; un commissaire européen soucieux des deniers publics est rare ; donc un commissaire européen économe est cher !" . Pour s'en convaincre, il n' y a qu'à regarder le coût des déplacements "ZOFFICIELS" de monsieur Barroso et de ses collègues pour comprendre combien les impôts versés par le vulgaire citoyen qui ne comprend rien aux affaires importent peu à ces beaux messieurs. L'Euro va mal, l'économie est au plus bas, le chômage et les pauvres croissent inexorablement dans l'Union, mais monsieur BARROSO dépense sans compter.

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