On nous dit qu'une commandante de police a utilisé à des fins personnelles son pouvoir de police pour enquêter, interroger et mettre en garde à vue des jeunes d'un établissement scolaire qui auraient été impliqués dans une sombre histoire de "corne cul" où sa fille aurait été une victime. Cela s'appelle un abus de pouvoir et un mélange des genres. Mais il vrai que lorsqu'on diligente les forces de police pour une histoire de scooter, voire que l'on fait admonester un citoyen parce qu'il a repris une injure prononcée par le Président de la République lui-même, on peut penser que l'exemple vient d'en haut. Ces pratiques relèvent d'un autre âge, celui où le monarque "enfermait" selon son bon plaisir ceux qui avaient le tort de contester ses décisions. Lire l'article du Figaro