De nouvelles mesures d'austérité pour ne pas dire de rigueur (ce mot qui fait peur à nos politiques" sont en cours. Rabotage des niches fiscales fiscales (mais lesquelles ?), augmentations déguisées des impôts (mais pour qui ?), réduction drastique de la fonction publique (vive le passage au privé chargé de "missions de service public" : on sait ce que cela donne par exemple avec le service de l'eau ou de la poste), sans doute, à moyen terme, gel des salaires de la fonction publique et blocage du SMIC... Tout cela, on s'y prépare. Ce que je trouve pour le moins surprenant c'est que ce soit le Secrétaire Général de l'Elysée qui en parle. Il n'est ni élu, ni membre du gouvernement. Ce qui est encore plus surprenant, c'est que ce genre de déclaration soit faite à l'étranger alors que cela concerne la politique intérieure de la France.On peut tout aussi bien rassurer les marchés (puisque c'est cela qui compte avant tout et, surtout, avant les français) depuis le territoire national. Cela s'appelle de la considération pour les électeurs dont on fait bien peu de cas maintenant. Mais on a l'habitude dans cette république qui n'en a guère plus que le nom. Lire l'article du Figaro Lire l'article du Monde