Dans un précédent article (voir ci-après), je m'interrogeais sur les risques de pollution atmosphérique de type radioactive en cas d'atteinte par les incendies des zones polluées par la catastrophe de Tchernobyl. Nous y sommes et, déjà, des scientifiques nous expliquent qu'il n'y a aucun danger et que la radioactivité qui serait contenue dans un éventuel nuage ne présente aucun risque. Bis repetita ? Cette fois ci on ne nous ressert pas le nuage qui longe les frontières mais on nous dit doctement que ce qui pourrait retomber est sans danger. Discours schizophrénique puisque le ministère des Affaires étrangère déconseille à nos ressortissants de se rendre en Russie ! Cela commence à faire beaucoup de scientifiques qui nous prennent pour des "billes" : la grippe et sa pandémie, la négation des accidents nucléaires dans le pacifique, Tchernobyl, le sang contaminé... Qui faut-il croire aujourd'hui ? Lire l'article du Parisien

On nous apprend que les incendies qui ravagent une partie de la Russie pourraient avoir des conséquences sur le reste de l'Europe en raison des fumées et des vents qui pourraient remuer des particules radioactives présentes dans des sols contaminés. Le voeu que je formule est qu'on ne nous serve pas, encore une fois, un excellent scientifique pour venir nous expliquer que les nuages toxiques ont longé les frontières françaises ! On nous a fait le coup lors de la catastrophes de Tchernobyl, on l'avait déjà fait avec Mururoa et Fangataufa lors des essais ratés (ce que l'armée nie toujours et que la nouvelle loi de dédommagement s'ingénie à minimiser). Lire l'article de Libération