Non content de se vautrer dans la luxure et dans le détournement de mineurs, le président du conseil italien se veut aujourd'hui restaurateur d'oeuvres qui le dépassent, non seulement par la taille mais aussi par l'histoire et la culture qu'il ne possède guère. La restauration scandaleuse de sculptures monumentales du patrimoine italien montre à quel point ce "petit monsieur" est obsédé par lui-même et par ses fantasmes et passages à l'acte dignes d'un pensionnaire d'asile psychiatrique. Sans doute, la restauration du sexe manquant de l'une des statues devait à se point le perturber qu'il n'a eu de cesse de "coller" un faux pénis à feu Marc Aurèle. Après ses outrances, ses insultes aux parlementaires européens, sa goujaterie à l'égard de la Chancelière allemande, ses coups de gueule et de menton rappelant étrangement ceux du duce, le voilà maintenant au même niveau que les parasites et dictateurs en tout genre qui voulaient classer l'art selon leurs propres visions. Pauvre pays ! Lire l'article de Libération