Une fois de plus, la France fait la "une" à la CEDH. Dans le cas des contraventions au code la route, trop de citoyens se laissent faire face à une administration toute puissante qui estime que les citoyens de base n'ont qu'à se taire. On est là dans le déni de justice et le mépris le plus total du droit fondamental de pouvoir se défendre. Dans ce cas précis, il ne s'agit pas de savoir si les automobilistes concernés par ces infractions sont innocents ou non des faits qui leur sont reprochés, mais plus simplement de considérer que tout un chacun a le droit à une défense et à pouvoir expliquer sa position. Lire l'article du Figaro Lire l'arrêt de la CEDH