Quand un publicitaire de renom (ou du moins de l'idée qu'il s'en fait) en vient à traiter " de salope" une journaliste, c'est l'homme de peu de bien qui se révèle. Toutes les excuses possibles formulées après perdent toute valeur. Signe des temps ? Non, signe de mépris et de peu de considération qu'un homme publique se croit autorisé à faire pour dire son désaccord. "Les mots ont dépassé sa pensée" ! Triste excuse car, si le mot est violent et trivial, c'est bien la pensée qui est en cause et dévoile l'homme. Mme PULVAR, au moins, a l'intelligence et la tenue pour répondre à ces insultes avec culture et discernement. Ce n'est pas le cas de M. SEGUELA. Lire l'article du Figaro