Le rêve de certains patrons, c'est d'arriver à produire au moindre coût, voire à ne pas payer ceux qui fabriquent leurs produits. Ces gens là, bien installés dans leur fauteuil de directeur, fauteuil dont ils ont bien souvent hérité ( c'est ce qu'on appelle se donner la peine de naître) imaginent un monde des affaires calqué sur celui des escrocs de l'emploi dans les pays tiers. Leurs rémunérations bondissent alors que leurs résultats sont minables au plan national et international, les retraites chapeau et autres "indemnités" de départ ont atteint des niveaux scandaleux. MAIS, les actionnaires sont contents : que les petits crèvent devient une morale courante de la bourse. Lire l'article de BFM business